supported by 35 fans who also own “C'è luce qui II”
This was truly a revelation. I was getting started with funeral doom, working on something with my headphones on... Then came Déluge... my jaw actually dropped, I stopped what I was doing and, wide-eyed, just listened to the track, baffled and amazed. After the album was over (I never do this), I went to lay down with my headphones to enjoy it over again.
I rarely heard (and felt) this much power and emotion in an album. Until I find something better, this is my landmark for peak funeral doom. fluo
supported by 33 fans who also own “C'è luce qui II”
Troisième plaie béante de la saga A Fleur de Peau, une flamme pâle, qui ne brûle pas — quand la vie n'est que l'ombre d'elle-même. Le titre de ce chapitre donne le ton. Car la flamme, elle, est là : vous pouvez chercher, je ne pense pas que vous trouverez un album de funeral doom aussi intense que celui-là (peut-être même au sein des A Fleur de Peau ?), notamment grâce aux artistes qui joignent Déhà et qui viennent ajouter une splendeur incommensurable — chant féminin/masculin, saxophone... Jordan Vauvert
supported by 32 fans who also own “C'è luce qui II”
La première installation d'une grande épopée tragique composée par Déhà, ce génie unique en son genre : A Fleur de Peau. Ce disque est pour plusieurs raisons un monument de DSBM. Déjà par sa composition : taillé en un seul bloc de 40 minutes, A Fleur de Peau I est d'un poids écrasant et pourtant, avec ses différentes parties et ses transitions, respire. L'angle d'approche est aussi novateur : la joie de vivre, une hypocrisie mais un mal nécessaire ; le malheur, c'est quand on le réalise... Jordan Vauvert